La Svizzera in bici
La Suisse est bien le «paradis du cyclotourisme»
99 Herzroute

La Suisse est bien le «paradis du cyclotourisme»
Lausanne–Rorschach
En 1999 je publiais un article dans la revue des 100 cols sur le «Brevet Alpin Suisse» avec comme titre «La Suisse, un pays de rêve pour le cyclotourisme». 22 ans plus tard, je décidais de retourner dans le pays de notre fille pour voir si c'était toujours le cas
La haute montagne n'étant plus de mon âge, je choisissais la route 99 dite «route du coeur» entre Lausanne et le lac de Constance. En Suisse il existe un réseau cyclo très dense de petites routes et chemins bien entretenus avec des circuits identifiés par des numéros et repérés par des flèches de couleur rouge carmin afin de les différencier des circuits pédestres repérés avec des flèches jaunes comme en France. Une association de bénévoles «Herzroute» gère une partie du réseau et en particulier la route du coeur. Des délégués régionaux sont chargés de la maintenance de la signalétique mais aussi de la création de déviations en cas de problème, ce que j'ai vécu au cours de ces deux semaines.
Petites routes sans voiture ou chemins sont en général synonyme de forte pente. C'est la raison pour laquelle je décidais de prendre un VAE et ce fut un choix judicieux car le parcours est une succession de montées et descentes entre 10 et 20 %. Avec un vélo de 50 kg, le moteur était indispensable. Mon équipement était au top. J'avais fait une sortie week-end dans le jura afin de le tester. Mais j'avais négligé un point important. Avec de telles pentes et un tel poids, les plaquettes s'usent plus vite et après trois jours plus de garniture. Dans une descente à près de 20 % le frein arrière a tellement chauffé que l'huile est entrée en ébullition et une giclée s'est échappée au niveau de la poignée. C'était un samedi après midi. A l'arrivée à Thun, j'ai pu être dépanné en quelques minutes (Le service Suisse !) 1 semaine plus tard j'avais déjà usé ces nouvelles plaquettes et de nouveau un dépannage express. C'est bien le seul problème rencontré au cours de ces quinze jours de bonheur. Le parcours est un succession de cartes postales entre moyenne montagne et lacs (9 lacs et 23 cols) et des centaines de fermes dans les régions de production du gruyère puis de l'Emmental et enfin de l'Appenzell. En plus des flèches je disposais des traces GPS et d'un road book. Impossible de se perdre. j'ai rencontré des centaines de cyclistes qui réalisaient également la route du coeur complète ou bien par étapes. En effet à chaque ville étape il y a le train. Les suisses se rendent donc en train à la ville de départ, louent un VAE Flyer ( La marque suisse) à la station qui est en général à la gare et à la fin de l'étape le rendent à une autre station et rentrent en train. C'est ce que fait notre fille qui avait prévu de m'accompagner sur l'étape Rapperswil-Wattwil mais a dû renoncer du fait de la météo (8h sous la pluie ce jour là). Tout le long de l'étape il y a des stations de remplacement des accu vides. J'ai été accompagné sur la plus grosse étape de 3 cyclos de Bâle qui réalisaient un challenge: La route du coeur en une semaine avec des Gravel sans moteur. J'ai rencontré d'autres suisses dont le circuit croisait le mien. Une très belle expérience qui me permet de confirmer que la Suisse est toujours un paradis pour les cyclotouristes.
Petites routes sans voiture ou chemins sont en général synonyme de forte pente. C'est la raison pour laquelle je décidais de prendre un VAE et ce fut un choix judicieux car le parcours est une succession de montées et descentes entre 10 et 20 %. Avec un vélo de 50 kg, le moteur était indispensable. Mon équipement était au top. J'avais fait une sortie week-end dans le jura afin de le tester. Mais j'avais négligé un point important. Avec de telles pentes et un tel poids, les plaquettes s'usent plus vite et après trois jours plus de garniture. Dans une descente à près de 20 % le frein arrière a tellement chauffé que l'huile est entrée en ébullition et une giclée s'est échappée au niveau de la poignée. C'était un samedi après midi. A l'arrivée à Thun, j'ai pu être dépanné en quelques minutes (Le service Suisse !) 1 semaine plus tard j'avais déjà usé ces nouvelles plaquettes et de nouveau un dépannage express. C'est bien le seul problème rencontré au cours de ces quinze jours de bonheur. Le parcours est un succession de cartes postales entre moyenne montagne et lacs (9 lacs et 23 cols) et des centaines de fermes dans les régions de production du gruyère puis de l'Emmental et enfin de l'Appenzell. En plus des flèches je disposais des traces GPS et d'un road book. Impossible de se perdre. j'ai rencontré des centaines de cyclistes qui réalisaient également la route du coeur complète ou bien par étapes. En effet à chaque ville étape il y a le train. Les suisses se rendent donc en train à la ville de départ, louent un VAE Flyer ( La marque suisse) à la station qui est en général à la gare et à la fin de l'étape le rendent à une autre station et rentrent en train. C'est ce que fait notre fille qui avait prévu de m'accompagner sur l'étape Rapperswil-Wattwil mais a dû renoncer du fait de la météo (8h sous la pluie ce jour là). Tout le long de l'étape il y a des stations de remplacement des accu vides. J'ai été accompagné sur la plus grosse étape de 3 cyclos de Bâle qui réalisaient un challenge: La route du coeur en une semaine avec des Gravel sans moteur. J'ai rencontré d'autres suisses dont le circuit croisait le mien. Une très belle expérience qui me permet de confirmer que la Suisse est toujours un paradis pour les cyclotouristes.
En 1999 je publiais un article dans la revue des 100 cols sur le «Brevet Alpin Suisse» avec comme titre «La Suisse, un pays de rêve pour le cyclotourisme». 22 ans plus tard, je décidais de retourner dans le pays de notre fille pour voir si c'était toujours le cas
La haute montagne n'étant plus de mon âge, je choisissais la route 99 dite «route du coeur» entre Lausanne et le lac de Constance. En Suisse il existe un réseau cyclo très dense de petites routes et chemins bien entretenus avec des circuits identifiés par des numéros et repérés par des flèches de couleur rouge carmin afin de les différencier des circuits pédestres repérés avec des flèches jaunes comme en France. Une association de bénévoles «Herzroute» gère une partie du réseau et en particulier la route du coeur. Des délégués régionaux sont chargés de la maintenance de la signalétique mais aussi de la création de déviations en cas de problème, ce que j'ai vécu au cours de ces deux semaines.
Petites routes sans voiture ou chemins sont en général synonyme de forte pente. C'est la raison pour laquelle je décidais de prendre un VAE et ce fut un choix judicieux car le parcours est une succession de montées et descentes entre 10 et 20 %. Avec un vélo de 50 kg, le moteur était indispensable. Mon équipement était au top. J'avais fait une sortie week-end dans le jura afin de le tester. Mais j'avais négligé un point important. Avec de telles pentes et un tel poids, les plaquettes s'usent plus vite et après trois jours plus de garniture. Dans une descente à près de 20 % le frein arrière a tellement chauffé que l'huile est entrée en ébullition et une giclée s'est échappée au niveau de la poignée. C'était un samedi après midi. A l'arrivée à Thun, j'ai pu être dépanné en quelques minutes (Le service Suisse !) 1 semaine plus tard j'avais déjà usé ces nouvelles plaquettes et de nouveau un dépannage express. C'est bien le seul problème rencontré au cours de ces quinze jours de bonheur. Le parcours est un succession de cartes postales entre moyenne montagne et lacs (9 lacs et 23 cols) et des centaines de fermes dans les régions de production du gruyère puis de l'Emmental et enfin de l'Appenzell. En plus des flèches je disposais des traces GPS et d'un road book. Impossible de se perdre. j'ai rencontré des centaines de cyclistes qui réalisaient également la route du coeur complète ou bien par étapes. En effet à chaque ville étape il y a le train. Les suisses se rendent donc en train à la ville de départ, louent un VAE Flyer ( La marque suisse) à la station qui est en général à la gare et à la fin de l'étape le rendent à une autre station et rentrent en train. C'est ce que fait notre fille qui avait prévu de m'accompagner sur l'étape Rapperswil-Wattwil mais a dû renoncer du fait de la météo (8h sous la pluie ce jour là). Tout le long de l'étape il y a des stations de remplacement des accu vides. J'ai été accompagné sur la plus grosse étape de 3 cyclos de Bâle qui réalisaient un challenge: La route du coeur en une semaine avec des Gravel sans moteur. J'ai rencontré d'autres suisses dont le circuit croisait le mien. Une très belle expérience qui me permet de confirmer que la Suisse est toujours un paradis pour les cyclotouristes.
Petites routes sans voiture ou chemins sont en général synonyme de forte pente. C'est la raison pour laquelle je décidais de prendre un VAE et ce fut un choix judicieux car le parcours est une succession de montées et descentes entre 10 et 20 %. Avec un vélo de 50 kg, le moteur était indispensable. Mon équipement était au top. J'avais fait une sortie week-end dans le jura afin de le tester. Mais j'avais négligé un point important. Avec de telles pentes et un tel poids, les plaquettes s'usent plus vite et après trois jours plus de garniture. Dans une descente à près de 20 % le frein arrière a tellement chauffé que l'huile est entrée en ébullition et une giclée s'est échappée au niveau de la poignée. C'était un samedi après midi. A l'arrivée à Thun, j'ai pu être dépanné en quelques minutes (Le service Suisse !) 1 semaine plus tard j'avais déjà usé ces nouvelles plaquettes et de nouveau un dépannage express. C'est bien le seul problème rencontré au cours de ces quinze jours de bonheur. Le parcours est un succession de cartes postales entre moyenne montagne et lacs (9 lacs et 23 cols) et des centaines de fermes dans les régions de production du gruyère puis de l'Emmental et enfin de l'Appenzell. En plus des flèches je disposais des traces GPS et d'un road book. Impossible de se perdre. j'ai rencontré des centaines de cyclistes qui réalisaient également la route du coeur complète ou bien par étapes. En effet à chaque ville étape il y a le train. Les suisses se rendent donc en train à la ville de départ, louent un VAE Flyer ( La marque suisse) à la station qui est en général à la gare et à la fin de l'étape le rendent à une autre station et rentrent en train. C'est ce que fait notre fille qui avait prévu de m'accompagner sur l'étape Rapperswil-Wattwil mais a dû renoncer du fait de la météo (8h sous la pluie ce jour là). Tout le long de l'étape il y a des stations de remplacement des accu vides. J'ai été accompagné sur la plus grosse étape de 3 cyclos de Bâle qui réalisaient un challenge: La route du coeur en une semaine avec des Gravel sans moteur. J'ai rencontré d'autres suisses dont le circuit croisait le mien. Une très belle expérience qui me permet de confirmer que la Suisse est toujours un paradis pour les cyclotouristes.