La Suisse à pied

Chemin des cols alpins
Etape 17, Rosswald–Simplon Hospiz

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Chemin des cols alpins
Etape 17, Rosswald–Simplon Hospiz
Une étape variée au caractère panoramique: montée alpine jusqu’à la cabane de Bortelhütte, à l’automne, cueillette de myrtilles au-dessus de Rothwald. De Schallbett au col du Simplonpass, le chemin évolue sur la galerie de la route du col.
Le village de Rosswald, vide de toute voiture, est situé sur une terrasse ensoleillée au-dessus de la vallée du Rhône. La vue sur les Alpes valaisannes et bernoises est fantastique. Jusqu’à la construction du téléphérique en 1953, ce lieu touristique familial était surtout utilisé pour l’économie pastorale et alpine. Depuis le téléphérique, il faut d’abord gravir une pente raide d’une centaine de mètres de dénivelé. Ensuite, le chemin de randonnée suit le bisse de Bärgwasser pendant une demi-heure. Grâce au clapotis de l’eau, il fait un peu plus frais ici. Comme le chemin est parfaitement intégré dans le paysage, on avance sans effort et avec plaisir malgré une légère montée.
Après avoir passé Stafel, on traverse le Mischibach. La vue s’étend jusqu’au massif des Mischabels avec le Dom, montagne la plus haute de Suisse. Pendant les 45 minutes suivantes, le chemin serpente le long de la paroi de la montagne. Il y a là quelques passages légèrement exposés, mais bien sécurisés. Après avoir traversé le Steinubach, on s’attaque à une montée raide à travers le Steinuchäller. Peu après, au bout de deux heures et demie de marche, on atteint la cabane Bortelhütte. Ici, les gâteaux faits maisons sont fortement recommandés. Après avoir repris des forces, on redescend au Furgguböümbach. Au loin, le beau sommet du Bitschhorn attire le regard tout au long du trajet. Après une montée sur un sentier caillouteux et plein de racines à travers la forêt jusqu’à Heitrich, une route magnifiquement aménagée mène à la Wasenalp. On aperçoit maintenant à côté du Bietschhorn l’Aletschorn, large et légèrement recouvert de glaciers.
Passé Bärufalla, au bout d’environ quatre heures et demie de marche, on s’attaque à la dernière montée éprouvante par un sentier bordé de buissons de myrtilles. On peut se servir à volonté en automne. Vient ensuite la descente parfois raide vers Schallbrett et la galerie de la route du col jusqu’au col du Simplon. De 1800 à 1805, Napoléon Bonaparte a fait construire la première route carrossable des Alpes, celle qui mène au col du Simplon. En 1801, il a en outre ordonné la construction d’un hospice qui aurait également dû servir de caserne. Mais les travaux de construction ont été interrompus après sa destitution. C’est en 1831 que les Chanoines du Grand-St-Bernard ont achevé l’œuvre de l’architecte lausannois Henri Perregaux. L’hospice, qui pouvait accueillir plus de 300 personnes à la fois, nourrissait alors jusqu’à 12000 voyageurs par an. Après une rénovation et une modernisation en 1995, l’hospice, ouvert toute l’année, peut héberger jusqu’à 130 hôtes.
Après avoir passé Stafel, on traverse le Mischibach. La vue s’étend jusqu’au massif des Mischabels avec le Dom, montagne la plus haute de Suisse. Pendant les 45 minutes suivantes, le chemin serpente le long de la paroi de la montagne. Il y a là quelques passages légèrement exposés, mais bien sécurisés. Après avoir traversé le Steinubach, on s’attaque à une montée raide à travers le Steinuchäller. Peu après, au bout de deux heures et demie de marche, on atteint la cabane Bortelhütte. Ici, les gâteaux faits maisons sont fortement recommandés. Après avoir repris des forces, on redescend au Furgguböümbach. Au loin, le beau sommet du Bitschhorn attire le regard tout au long du trajet. Après une montée sur un sentier caillouteux et plein de racines à travers la forêt jusqu’à Heitrich, une route magnifiquement aménagée mène à la Wasenalp. On aperçoit maintenant à côté du Bietschhorn l’Aletschorn, large et légèrement recouvert de glaciers.
Passé Bärufalla, au bout d’environ quatre heures et demie de marche, on s’attaque à la dernière montée éprouvante par un sentier bordé de buissons de myrtilles. On peut se servir à volonté en automne. Vient ensuite la descente parfois raide vers Schallbrett et la galerie de la route du col jusqu’au col du Simplon. De 1800 à 1805, Napoléon Bonaparte a fait construire la première route carrossable des Alpes, celle qui mène au col du Simplon. En 1801, il a en outre ordonné la construction d’un hospice qui aurait également dû servir de caserne. Mais les travaux de construction ont été interrompus après sa destitution. C’est en 1831 que les Chanoines du Grand-St-Bernard ont achevé l’œuvre de l’architecte lausannois Henri Perregaux. L’hospice, qui pouvait accueillir plus de 300 personnes à la fois, nourrissait alors jusqu’à 12000 voyageurs par an. Après une rénovation et une modernisation en 1995, l’hospice, ouvert toute l’année, peut héberger jusqu’à 130 hôtes.
Une étape variée au caractère panoramique: montée alpine jusqu’à la cabane de Bortelhütte, à l’automne, cueillette de myrtilles au-dessus de Rothwald. De Schallbett au col du Simplonpass, le chemin évolue sur la galerie de la route du col.
Le village de Rosswald, vide de toute voiture, est situé sur une terrasse ensoleillée au-dessus de la vallée du Rhône. La vue sur les Alpes valaisannes et bernoises est fantastique. Jusqu’à la construction du téléphérique en 1953, ce lieu touristique familial était surtout utilisé pour l’économie pastorale et alpine. Depuis le téléphérique, il faut d’abord gravir une pente raide d’une centaine de mètres de dénivelé. Ensuite, le chemin de randonnée suit le bisse de Bärgwasser pendant une demi-heure. Grâce au clapotis de l’eau, il fait un peu plus frais ici. Comme le chemin est parfaitement intégré dans le paysage, on avance sans effort et avec plaisir malgré une légère montée.
Après avoir passé Stafel, on traverse le Mischibach. La vue s’étend jusqu’au massif des Mischabels avec le Dom, montagne la plus haute de Suisse. Pendant les 45 minutes suivantes, le chemin serpente le long de la paroi de la montagne. Il y a là quelques passages légèrement exposés, mais bien sécurisés. Après avoir traversé le Steinubach, on s’attaque à une montée raide à travers le Steinuchäller. Peu après, au bout de deux heures et demie de marche, on atteint la cabane Bortelhütte. Ici, les gâteaux faits maisons sont fortement recommandés. Après avoir repris des forces, on redescend au Furgguböümbach. Au loin, le beau sommet du Bitschhorn attire le regard tout au long du trajet. Après une montée sur un sentier caillouteux et plein de racines à travers la forêt jusqu’à Heitrich, une route magnifiquement aménagée mène à la Wasenalp. On aperçoit maintenant à côté du Bietschhorn l’Aletschorn, large et légèrement recouvert de glaciers.
Passé Bärufalla, au bout d’environ quatre heures et demie de marche, on s’attaque à la dernière montée éprouvante par un sentier bordé de buissons de myrtilles. On peut se servir à volonté en automne. Vient ensuite la descente parfois raide vers Schallbrett et la galerie de la route du col jusqu’au col du Simplon. De 1800 à 1805, Napoléon Bonaparte a fait construire la première route carrossable des Alpes, celle qui mène au col du Simplon. En 1801, il a en outre ordonné la construction d’un hospice qui aurait également dû servir de caserne. Mais les travaux de construction ont été interrompus après sa destitution. C’est en 1831 que les Chanoines du Grand-St-Bernard ont achevé l’œuvre de l’architecte lausannois Henri Perregaux. L’hospice, qui pouvait accueillir plus de 300 personnes à la fois, nourrissait alors jusqu’à 12000 voyageurs par an. Après une rénovation et une modernisation en 1995, l’hospice, ouvert toute l’année, peut héberger jusqu’à 130 hôtes.
Après avoir passé Stafel, on traverse le Mischibach. La vue s’étend jusqu’au massif des Mischabels avec le Dom, montagne la plus haute de Suisse. Pendant les 45 minutes suivantes, le chemin serpente le long de la paroi de la montagne. Il y a là quelques passages légèrement exposés, mais bien sécurisés. Après avoir traversé le Steinubach, on s’attaque à une montée raide à travers le Steinuchäller. Peu après, au bout de deux heures et demie de marche, on atteint la cabane Bortelhütte. Ici, les gâteaux faits maisons sont fortement recommandés. Après avoir repris des forces, on redescend au Furgguböümbach. Au loin, le beau sommet du Bitschhorn attire le regard tout au long du trajet. Après une montée sur un sentier caillouteux et plein de racines à travers la forêt jusqu’à Heitrich, une route magnifiquement aménagée mène à la Wasenalp. On aperçoit maintenant à côté du Bietschhorn l’Aletschorn, large et légèrement recouvert de glaciers.
Passé Bärufalla, au bout d’environ quatre heures et demie de marche, on s’attaque à la dernière montée éprouvante par un sentier bordé de buissons de myrtilles. On peut se servir à volonté en automne. Vient ensuite la descente parfois raide vers Schallbrett et la galerie de la route du col jusqu’au col du Simplon. De 1800 à 1805, Napoléon Bonaparte a fait construire la première route carrossable des Alpes, celle qui mène au col du Simplon. En 1801, il a en outre ordonné la construction d’un hospice qui aurait également dû servir de caserne. Mais les travaux de construction ont été interrompus après sa destitution. C’est en 1831 que les Chanoines du Grand-St-Bernard ont achevé l’œuvre de l’architecte lausannois Henri Perregaux. L’hospice, qui pouvait accueillir plus de 300 personnes à la fois, nourrissait alors jusqu’à 12000 voyageurs par an. Après une rénovation et une modernisation en 1995, l’hospice, ouvert toute l’année, peut héberger jusqu’à 130 hôtes.
Longueur
19 km
Montée | Descente
1150 m | 1000 m
Temps de marche
6 h 30 min
Techniquement | Physiquement
moyen
(chemin de montagne)
|
difficile
Aller | retour
Saison
Saison
Attention: les tronçons en altitude peuvent comporter de la neige jusqu’en été.
Aller | retour
Contact
Entretien de la signalisation
L'entretien de la signalisation est pris en charge par l'association cantonale de tourisme pédestre, sur mandat des communes.
Valrando
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