La Suisse à vélo
De Disentis à Bâle
2 Route du Rhin

De Disentis à Bâle
Andermatt–Basel–(Rotterdamm)
Au cours de l’hiver, nous cherchions une destination pour nos premières vacances familiales à vélo. Interessés tout d’abord par le tour du Lac de Constance, nous avons découvert sur le site de « La Suisse à Vélo » la Route n°2, et avons décidé de la suivre, en partant de Disentis pour éviter le col de l’Oberalp.
Juillet 2003
Au cours de l’hiver, nous cherchions une destination pour nos premières vacances familiales à vélo. Interessés tout d’abord par le tour du Lac de Constance, nous avons découvert sur le site de « La Suisse à Vélo » la Route n°2, et avons décidé de la suivre, en partant de Disentis pour éviter le col de l’Oberalp.
« Nous », c’est une famille de cinq personnes, deux parents et trois enfants : Léopold (9 ans), Adèle (8 ans) et Jeanne (4 ans). Chacun dispose de son vélo, mais celui de Jeanne est relié par un « Driv’Junior » à celui de son père, ce qui le transforme en 3ème roue sans lui ôter la possibilité d’être autonome. Nous avons prévu de faire du camping : le deuxième vélo adulte sera suivi par une remorque, indispensable complément aux sacoches pour transporter tout le matériel, bien que nous ayions réduit l’inventaire, en particulier vestimentaire, au minimum, comptant sur le beau temps, et ne prévoyant pas de réaliser des exploits culinaires. En dehors d’une bonne averse qui nous obligera à nous abriter deux heures durant dans une gare, nous ne le regretterons pas ! Quant à la cuisine, elle se réduira pour la plupart des repas à un pique-nique acheté dans une petite épicerie sur la route. .. ce qui ne nous empêchera pas de regretter les heures réduites d’ouverture des magasins, en particulier le week-end, ce qui oblige à transporter des provisions, vite encombrantes quand il faut nourrir cinq estomacs affamés par les efforts de la journée !
Pour rejoindre Disentis, nous avons envisagé de prendre le train, mais les tarifs s’avèrent dissuasifs, et c’est en voiture que nous rallions les Grisons. Contrairement à ce que semble indiquer « la Suisse à vélo », il n’y a pas de parking gardé à Disentis : nous laissons (pour CHF 30) la voiture devant la gare, bien qu’il semble qu’on puisse utiliser gratuitement le parking du téléphérique, situé un peu plus haut. Et c’est parti !…
L’itinéraire est très bien balisé : rares seront les carrefours où le recours à la carte sera nécessaire. En revanche, il emprunte parfois, surtout entre Disentis et Ilanz, mais aussi entre Walbach et Rheinfelden des chemins peu confortables, et même délicats avec des vélos très chargés : une mise en garde, et une alternative, serait nécessaire sur quelques tronçons.
Nous n’avons que peu modifié l’itinéraire : nous avons quitté la Route n°2 pour traverser le Liechtenstein, puis entre Koblenz-Waldshut et Laufenburg, où nous avons suivi la rive allemande du fleuve, histoire de contempler la Suisse d’en face, mais toujours à vélo ! En général, nous avons relevé sur nos compteurs des distances légèrement supérieures à celles indiquées dans le guide.
Nos étapes , parfaitement adaptées aux possibilités des enfants et … à la localisation des campings ont été les suivantes :
Disentis-Valendas (41 km)
Valendas-Landquart (50 km)
Landquart-Buchs (38 km)
Buchs-St Margrethen (48 km)
St Margrethen-Uttwil (48 km)
Uttwil-Mämmern (44 km)
Mämmern-Flaach (54 km)
Flaach-Waldshut (44 km)
Waldshut-Möhlin (44 km)
Möhlin-Bâle (38 km)
L’accueil et la qualité des campings ont varié entre le bien et… l’excellent, et nous avons payé entre CHF 16 et CHF 44 pour chaque nuit avec nos deux petites tentes.
Des sommets enneigés de la Surselva à la cathédrale de Bâle, en passant par les rives du lac de Constance et les petits villages thurgoviens, le paysage est varié, et nous sommes allés de surprise en surprise. Finalement, étonnés d’avoir vu le Rhin grandir si vite à nos côtés, nous l’avons quitté avec un petit pincement au cœur… Pour nous consoler, il nous reste les photos, et 8 autres routes à découvrir : de quoi alimenter les discussions de l’hiver !
Au cours de l’hiver, nous cherchions une destination pour nos premières vacances familiales à vélo. Interessés tout d’abord par le tour du Lac de Constance, nous avons découvert sur le site de « La Suisse à Vélo » la Route n°2, et avons décidé de la suivre, en partant de Disentis pour éviter le col de l’Oberalp.
« Nous », c’est une famille de cinq personnes, deux parents et trois enfants : Léopold (9 ans), Adèle (8 ans) et Jeanne (4 ans). Chacun dispose de son vélo, mais celui de Jeanne est relié par un « Driv’Junior » à celui de son père, ce qui le transforme en 3ème roue sans lui ôter la possibilité d’être autonome. Nous avons prévu de faire du camping : le deuxième vélo adulte sera suivi par une remorque, indispensable complément aux sacoches pour transporter tout le matériel, bien que nous ayions réduit l’inventaire, en particulier vestimentaire, au minimum, comptant sur le beau temps, et ne prévoyant pas de réaliser des exploits culinaires. En dehors d’une bonne averse qui nous obligera à nous abriter deux heures durant dans une gare, nous ne le regretterons pas ! Quant à la cuisine, elle se réduira pour la plupart des repas à un pique-nique acheté dans une petite épicerie sur la route. .. ce qui ne nous empêchera pas de regretter les heures réduites d’ouverture des magasins, en particulier le week-end, ce qui oblige à transporter des provisions, vite encombrantes quand il faut nourrir cinq estomacs affamés par les efforts de la journée !
Pour rejoindre Disentis, nous avons envisagé de prendre le train, mais les tarifs s’avèrent dissuasifs, et c’est en voiture que nous rallions les Grisons. Contrairement à ce que semble indiquer « la Suisse à vélo », il n’y a pas de parking gardé à Disentis : nous laissons (pour CHF 30) la voiture devant la gare, bien qu’il semble qu’on puisse utiliser gratuitement le parking du téléphérique, situé un peu plus haut. Et c’est parti !…
L’itinéraire est très bien balisé : rares seront les carrefours où le recours à la carte sera nécessaire. En revanche, il emprunte parfois, surtout entre Disentis et Ilanz, mais aussi entre Walbach et Rheinfelden des chemins peu confortables, et même délicats avec des vélos très chargés : une mise en garde, et une alternative, serait nécessaire sur quelques tronçons.
Nous n’avons que peu modifié l’itinéraire : nous avons quitté la Route n°2 pour traverser le Liechtenstein, puis entre Koblenz-Waldshut et Laufenburg, où nous avons suivi la rive allemande du fleuve, histoire de contempler la Suisse d’en face, mais toujours à vélo ! En général, nous avons relevé sur nos compteurs des distances légèrement supérieures à celles indiquées dans le guide.
Nos étapes , parfaitement adaptées aux possibilités des enfants et … à la localisation des campings ont été les suivantes :
Disentis-Valendas (41 km)
Valendas-Landquart (50 km)
Landquart-Buchs (38 km)
Buchs-St Margrethen (48 km)
St Margrethen-Uttwil (48 km)
Uttwil-Mämmern (44 km)
Mämmern-Flaach (54 km)
Flaach-Waldshut (44 km)
Waldshut-Möhlin (44 km)
Möhlin-Bâle (38 km)
L’accueil et la qualité des campings ont varié entre le bien et… l’excellent, et nous avons payé entre CHF 16 et CHF 44 pour chaque nuit avec nos deux petites tentes.
Des sommets enneigés de la Surselva à la cathédrale de Bâle, en passant par les rives du lac de Constance et les petits villages thurgoviens, le paysage est varié, et nous sommes allés de surprise en surprise. Finalement, étonnés d’avoir vu le Rhin grandir si vite à nos côtés, nous l’avons quitté avec un petit pincement au cœur… Pour nous consoler, il nous reste les photos, et 8 autres routes à découvrir : de quoi alimenter les discussions de l’hiver !
Au cours de l’hiver, nous cherchions une destination pour nos premières vacances familiales à vélo. Interessés tout d’abord par le tour du Lac de Constance, nous avons découvert sur le site de « La Suisse à Vélo » la Route n°2, et avons décidé de la suivre, en partant de Disentis pour éviter le col de l’Oberalp.
Juillet 2003
Au cours de l’hiver, nous cherchions une destination pour nos premières vacances familiales à vélo. Interessés tout d’abord par le tour du Lac de Constance, nous avons découvert sur le site de « La Suisse à Vélo » la Route n°2, et avons décidé de la suivre, en partant de Disentis pour éviter le col de l’Oberalp.
« Nous », c’est une famille de cinq personnes, deux parents et trois enfants : Léopold (9 ans), Adèle (8 ans) et Jeanne (4 ans). Chacun dispose de son vélo, mais celui de Jeanne est relié par un « Driv’Junior » à celui de son père, ce qui le transforme en 3ème roue sans lui ôter la possibilité d’être autonome. Nous avons prévu de faire du camping : le deuxième vélo adulte sera suivi par une remorque, indispensable complément aux sacoches pour transporter tout le matériel, bien que nous ayions réduit l’inventaire, en particulier vestimentaire, au minimum, comptant sur le beau temps, et ne prévoyant pas de réaliser des exploits culinaires. En dehors d’une bonne averse qui nous obligera à nous abriter deux heures durant dans une gare, nous ne le regretterons pas ! Quant à la cuisine, elle se réduira pour la plupart des repas à un pique-nique acheté dans une petite épicerie sur la route. .. ce qui ne nous empêchera pas de regretter les heures réduites d’ouverture des magasins, en particulier le week-end, ce qui oblige à transporter des provisions, vite encombrantes quand il faut nourrir cinq estomacs affamés par les efforts de la journée !
Pour rejoindre Disentis, nous avons envisagé de prendre le train, mais les tarifs s’avèrent dissuasifs, et c’est en voiture que nous rallions les Grisons. Contrairement à ce que semble indiquer « la Suisse à vélo », il n’y a pas de parking gardé à Disentis : nous laissons (pour CHF 30) la voiture devant la gare, bien qu’il semble qu’on puisse utiliser gratuitement le parking du téléphérique, situé un peu plus haut. Et c’est parti !…
L’itinéraire est très bien balisé : rares seront les carrefours où le recours à la carte sera nécessaire. En revanche, il emprunte parfois, surtout entre Disentis et Ilanz, mais aussi entre Walbach et Rheinfelden des chemins peu confortables, et même délicats avec des vélos très chargés : une mise en garde, et une alternative, serait nécessaire sur quelques tronçons.
Nous n’avons que peu modifié l’itinéraire : nous avons quitté la Route n°2 pour traverser le Liechtenstein, puis entre Koblenz-Waldshut et Laufenburg, où nous avons suivi la rive allemande du fleuve, histoire de contempler la Suisse d’en face, mais toujours à vélo ! En général, nous avons relevé sur nos compteurs des distances légèrement supérieures à celles indiquées dans le guide.
Nos étapes , parfaitement adaptées aux possibilités des enfants et … à la localisation des campings ont été les suivantes :
Disentis-Valendas (41 km)
Valendas-Landquart (50 km)
Landquart-Buchs (38 km)
Buchs-St Margrethen (48 km)
St Margrethen-Uttwil (48 km)
Uttwil-Mämmern (44 km)
Mämmern-Flaach (54 km)
Flaach-Waldshut (44 km)
Waldshut-Möhlin (44 km)
Möhlin-Bâle (38 km)
L’accueil et la qualité des campings ont varié entre le bien et… l’excellent, et nous avons payé entre CHF 16 et CHF 44 pour chaque nuit avec nos deux petites tentes.
Des sommets enneigés de la Surselva à la cathédrale de Bâle, en passant par les rives du lac de Constance et les petits villages thurgoviens, le paysage est varié, et nous sommes allés de surprise en surprise. Finalement, étonnés d’avoir vu le Rhin grandir si vite à nos côtés, nous l’avons quitté avec un petit pincement au cœur… Pour nous consoler, il nous reste les photos, et 8 autres routes à découvrir : de quoi alimenter les discussions de l’hiver !
Au cours de l’hiver, nous cherchions une destination pour nos premières vacances familiales à vélo. Interessés tout d’abord par le tour du Lac de Constance, nous avons découvert sur le site de « La Suisse à Vélo » la Route n°2, et avons décidé de la suivre, en partant de Disentis pour éviter le col de l’Oberalp.
« Nous », c’est une famille de cinq personnes, deux parents et trois enfants : Léopold (9 ans), Adèle (8 ans) et Jeanne (4 ans). Chacun dispose de son vélo, mais celui de Jeanne est relié par un « Driv’Junior » à celui de son père, ce qui le transforme en 3ème roue sans lui ôter la possibilité d’être autonome. Nous avons prévu de faire du camping : le deuxième vélo adulte sera suivi par une remorque, indispensable complément aux sacoches pour transporter tout le matériel, bien que nous ayions réduit l’inventaire, en particulier vestimentaire, au minimum, comptant sur le beau temps, et ne prévoyant pas de réaliser des exploits culinaires. En dehors d’une bonne averse qui nous obligera à nous abriter deux heures durant dans une gare, nous ne le regretterons pas ! Quant à la cuisine, elle se réduira pour la plupart des repas à un pique-nique acheté dans une petite épicerie sur la route. .. ce qui ne nous empêchera pas de regretter les heures réduites d’ouverture des magasins, en particulier le week-end, ce qui oblige à transporter des provisions, vite encombrantes quand il faut nourrir cinq estomacs affamés par les efforts de la journée !
Pour rejoindre Disentis, nous avons envisagé de prendre le train, mais les tarifs s’avèrent dissuasifs, et c’est en voiture que nous rallions les Grisons. Contrairement à ce que semble indiquer « la Suisse à vélo », il n’y a pas de parking gardé à Disentis : nous laissons (pour CHF 30) la voiture devant la gare, bien qu’il semble qu’on puisse utiliser gratuitement le parking du téléphérique, situé un peu plus haut. Et c’est parti !…
L’itinéraire est très bien balisé : rares seront les carrefours où le recours à la carte sera nécessaire. En revanche, il emprunte parfois, surtout entre Disentis et Ilanz, mais aussi entre Walbach et Rheinfelden des chemins peu confortables, et même délicats avec des vélos très chargés : une mise en garde, et une alternative, serait nécessaire sur quelques tronçons.
Nous n’avons que peu modifié l’itinéraire : nous avons quitté la Route n°2 pour traverser le Liechtenstein, puis entre Koblenz-Waldshut et Laufenburg, où nous avons suivi la rive allemande du fleuve, histoire de contempler la Suisse d’en face, mais toujours à vélo ! En général, nous avons relevé sur nos compteurs des distances légèrement supérieures à celles indiquées dans le guide.
Nos étapes , parfaitement adaptées aux possibilités des enfants et … à la localisation des campings ont été les suivantes :
Disentis-Valendas (41 km)
Valendas-Landquart (50 km)
Landquart-Buchs (38 km)
Buchs-St Margrethen (48 km)
St Margrethen-Uttwil (48 km)
Uttwil-Mämmern (44 km)
Mämmern-Flaach (54 km)
Flaach-Waldshut (44 km)
Waldshut-Möhlin (44 km)
Möhlin-Bâle (38 km)
L’accueil et la qualité des campings ont varié entre le bien et… l’excellent, et nous avons payé entre CHF 16 et CHF 44 pour chaque nuit avec nos deux petites tentes.
Des sommets enneigés de la Surselva à la cathédrale de Bâle, en passant par les rives du lac de Constance et les petits villages thurgoviens, le paysage est varié, et nous sommes allés de surprise en surprise. Finalement, étonnés d’avoir vu le Rhin grandir si vite à nos côtés, nous l’avons quitté avec un petit pincement au cœur… Pour nous consoler, il nous reste les photos, et 8 autres routes à découvrir : de quoi alimenter les discussions de l’hiver !