La Suisse à pied
Gorges du Trient
Vernayaz
Gorges du Trient
30 minutes de balade dans les profondeurs de gorges traversées par 2 des plus hauts ponts d'Europe (200 mètres).
Puissant exemple du phénomène d’érosion, elles forment une profonde incision de quelques centaines de mètres de hauteur au fond de laquelle coule le torrent glaciaire. Cette impressionnante faille est traversée par deux des plus hauts ponts d’Europe qui surplombe les gorges de 200 m. Promenade d’accès facile.
Il y a 40 000 ans, les glaciers ont raboté nos vallées pour leur donner un profil en «U», avec des parois très escarpées et un fond plat. Les glaciers commencèrent leur lent retrait et le cours d'eau qui, depuis, évacue les eaux de fonte y creuse une entaille en forme de V. Ici, le Trient a scié la cuvette glacière de la vallée.
Les Gorges du Trient extasièrent les romantiques du XIXe siècle. L'écriture en est trempée de ces impressions de terreur et d'admiration inoubliables. Au fond de cette sombre déchirure de quelques centaines de mètres bouillonne le Trient, torrent glaciaire prenant naissance au glacier du même nom et dont les principaux affluents sont l'Eau-Noire, grossie de l'Eau de Bérard du Buet et de la Barberine, et le Triège. Dans l'excavation des Gorges nommée l'Eglise, un coup de pistolet retentit comme un coup de tonnerre.
Dans la seconde moitié du XVllle siècle, les bûcherons qui œuvraient plus haut dans la vallée y faisaient flotter le bois destiné à alimenter les fours d'une fabrique de verre installée à la sortie des gorges, sur la rive droite du cours d'eau. Aujour-d'hui, un petit hameau nous rappelle par son nom l'existence de la Verrerie. Les eaux, d'apparences calmes, qui grignotent inlassablement la roche sous ces passerelles, se sont réveillées plus d'une fois en sursaut et les furies du Trient firent entrer tout d'une pièce son pont jusqu'au fond du hall de l'ancienne verrerie.
Il y a 40 000 ans, les glaciers ont raboté nos vallées pour leur donner un profil en «U», avec des parois très escarpées et un fond plat. Les glaciers commencèrent leur lent retrait et le cours d'eau qui, depuis, évacue les eaux de fonte y creuse une entaille en forme de V. Ici, le Trient a scié la cuvette glacière de la vallée.
Les Gorges du Trient extasièrent les romantiques du XIXe siècle. L'écriture en est trempée de ces impressions de terreur et d'admiration inoubliables. Au fond de cette sombre déchirure de quelques centaines de mètres bouillonne le Trient, torrent glaciaire prenant naissance au glacier du même nom et dont les principaux affluents sont l'Eau-Noire, grossie de l'Eau de Bérard du Buet et de la Barberine, et le Triège. Dans l'excavation des Gorges nommée l'Eglise, un coup de pistolet retentit comme un coup de tonnerre.
Dans la seconde moitié du XVllle siècle, les bûcherons qui œuvraient plus haut dans la vallée y faisaient flotter le bois destiné à alimenter les fours d'une fabrique de verre installée à la sortie des gorges, sur la rive droite du cours d'eau. Aujour-d'hui, un petit hameau nous rappelle par son nom l'existence de la Verrerie. Les eaux, d'apparences calmes, qui grignotent inlassablement la roche sous ces passerelles, se sont réveillées plus d'une fois en sursaut et les furies du Trient firent entrer tout d'une pièce son pont jusqu'au fond du hall de l'ancienne verrerie.
30 minutes de balade dans les profondeurs de gorges traversées par 2 des plus hauts ponts d'Europe (200 mètres).
Puissant exemple du phénomène d’érosion, elles forment une profonde incision de quelques centaines de mètres de hauteur au fond de laquelle coule le torrent glaciaire. Cette impressionnante faille est traversée par deux des plus hauts ponts d’Europe qui surplombe les gorges de 200 m. Promenade d’accès facile.
Il y a 40 000 ans, les glaciers ont raboté nos vallées pour leur donner un profil en «U», avec des parois très escarpées et un fond plat. Les glaciers commencèrent leur lent retrait et le cours d'eau qui, depuis, évacue les eaux de fonte y creuse une entaille en forme de V. Ici, le Trient a scié la cuvette glacière de la vallée.
Les Gorges du Trient extasièrent les romantiques du XIXe siècle. L'écriture en est trempée de ces impressions de terreur et d'admiration inoubliables. Au fond de cette sombre déchirure de quelques centaines de mètres bouillonne le Trient, torrent glaciaire prenant naissance au glacier du même nom et dont les principaux affluents sont l'Eau-Noire, grossie de l'Eau de Bérard du Buet et de la Barberine, et le Triège. Dans l'excavation des Gorges nommée l'Eglise, un coup de pistolet retentit comme un coup de tonnerre.
Dans la seconde moitié du XVllle siècle, les bûcherons qui œuvraient plus haut dans la vallée y faisaient flotter le bois destiné à alimenter les fours d'une fabrique de verre installée à la sortie des gorges, sur la rive droite du cours d'eau. Aujour-d'hui, un petit hameau nous rappelle par son nom l'existence de la Verrerie. Les eaux, d'apparences calmes, qui grignotent inlassablement la roche sous ces passerelles, se sont réveillées plus d'une fois en sursaut et les furies du Trient firent entrer tout d'une pièce son pont jusqu'au fond du hall de l'ancienne verrerie.
Il y a 40 000 ans, les glaciers ont raboté nos vallées pour leur donner un profil en «U», avec des parois très escarpées et un fond plat. Les glaciers commencèrent leur lent retrait et le cours d'eau qui, depuis, évacue les eaux de fonte y creuse une entaille en forme de V. Ici, le Trient a scié la cuvette glacière de la vallée.
Les Gorges du Trient extasièrent les romantiques du XIXe siècle. L'écriture en est trempée de ces impressions de terreur et d'admiration inoubliables. Au fond de cette sombre déchirure de quelques centaines de mètres bouillonne le Trient, torrent glaciaire prenant naissance au glacier du même nom et dont les principaux affluents sont l'Eau-Noire, grossie de l'Eau de Bérard du Buet et de la Barberine, et le Triège. Dans l'excavation des Gorges nommée l'Eglise, un coup de pistolet retentit comme un coup de tonnerre.
Dans la seconde moitié du XVllle siècle, les bûcherons qui œuvraient plus haut dans la vallée y faisaient flotter le bois destiné à alimenter les fours d'une fabrique de verre installée à la sortie des gorges, sur la rive droite du cours d'eau. Aujour-d'hui, un petit hameau nous rappelle par son nom l'existence de la Verrerie. Les eaux, d'apparences calmes, qui grignotent inlassablement la roche sous ces passerelles, se sont réveillées plus d'une fois en sursaut et les furies du Trient firent entrer tout d'une pièce son pont jusqu'au fond du hall de l'ancienne verrerie.