La Suisse à pied

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Etape 6, Biel/Bienne–Port–Studen–Lyss–Aarberg

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Etape 6, Biel/Bienne–Port–Studen–Lyss–Aarberg
On quitte Bienne le long de la Thielle par le canal de Nidau-Büren. Le chemin monte dans la forêt jusqu’au Jensberg, où un Chnebelburg, un Keltenwall et le temple Petinesca ont été découverts. Longeant l’ancienne Aar sur de jolis sentiers à travers des forêts alluviales, l’étape s’achève dans la cité moyenâgeuse d’Aarberg.
On quitte Bienne par un joli chemin riverain le long de la Thielle. En passant devant les embarcadères, le château de Nidau et les lotissements des zones résidentielles privilégiées, on arrive au barrage de Port, qui régule les masses d’eau à la sortie du lac de Bienne. Une écluse permet également le passage des bateaux. Après les dernières maisons, le chemin monte en pente raide jusqu’au Jensberg, chargé d‘histoire. Au point culminant, caché dans un épais sous-bois, est conservé l’enceinte celtique d’une Chnebelburg datant du 1er/2e siècle avant J.-C. Plus loin vers l’ouest, on tombe sur une muraille datant du temps des Celtes, et, dans la forêt de Studen, sur le quartier d’un temple de l’époque gallo-romaine, dont les fondations ont été soigneusement restaurées. En descendant vers Studen, on trouve les vestiges de la porte d’entrée de Petinesca. Cette petite ville romaine constituait aux 2e et 3e siècles après J.-C. le centre des domaines environnants.
Le long de la ligne de chemin de fer, d’entrepôts et de nombreuses entreprises artisanales, on traverse l’ancienne Aar à Grien, et on entre dans la plus grande zone alluviale continue de Suisse. Le sentier longe d’abord la lisière de la forêt, puis traverse la zone alluviale. L’Aar, qui s’écoule lentement, a façonné un paysage varié avec des cours d’eau, des bras de rivières, des zones alluviales à bois tendre, des prairies humides et des étangs pour amphibiens. Depuis la correction des eaux du Jura en 1878 et l’abaissement de leur niveau, il ne coulait plus qu’un peu d’eau dans l’ancienne Aar, ce qui a entraîné un appauvrissement de la biodiversité. La dernière revalorisation de la zone alluviale a permis d’augmenter le débit de l’eau via un nouveau système de régulation près d’Aarberg. Grâce au rehaussement des digues de protection contre les crues, la protection des habitations voisines a pu être améliorée. Aujourd’hui, beaucoup plus d’eau peut à nouveau s’écouler à travers l’ancienne Aar.
Une zone alluviale n’est un habitat riche en espèces que si l’eau peut façonner le paysage et former une grande variété de structures de biotopes. L’installation de bois mort dans le cours d’eau a également permis de créer une diversité des courants et de nouveaux habitats. Grâce à de nombreuses revitalisations, les cours d’eau ramifiés avec leurs mares, leurs surfaces de graviers ouvertes et leurs bras morts offrent aujourd’hui un habitat aux castors, aux martins pêcheurs et à de nombreux amphibiens. Près de Kappelen, la proximité de l’autoroute et du circuit de karting perturbe quelque peu la tranquillité de la randonnée. Mais entre les deux, c’est un calme étonnant qui règne, malgré la proximité des habitations et des voies de circulation. Peu avant Aarberg, on quitte la forêt alluviale et on passe devant les terrains de sport et les lotissements pour arriver aux portes d’entrée de la petite ville médiévale.
Le long de la ligne de chemin de fer, d’entrepôts et de nombreuses entreprises artisanales, on traverse l’ancienne Aar à Grien, et on entre dans la plus grande zone alluviale continue de Suisse. Le sentier longe d’abord la lisière de la forêt, puis traverse la zone alluviale. L’Aar, qui s’écoule lentement, a façonné un paysage varié avec des cours d’eau, des bras de rivières, des zones alluviales à bois tendre, des prairies humides et des étangs pour amphibiens. Depuis la correction des eaux du Jura en 1878 et l’abaissement de leur niveau, il ne coulait plus qu’un peu d’eau dans l’ancienne Aar, ce qui a entraîné un appauvrissement de la biodiversité. La dernière revalorisation de la zone alluviale a permis d’augmenter le débit de l’eau via un nouveau système de régulation près d’Aarberg. Grâce au rehaussement des digues de protection contre les crues, la protection des habitations voisines a pu être améliorée. Aujourd’hui, beaucoup plus d’eau peut à nouveau s’écouler à travers l’ancienne Aar.
Une zone alluviale n’est un habitat riche en espèces que si l’eau peut façonner le paysage et former une grande variété de structures de biotopes. L’installation de bois mort dans le cours d’eau a également permis de créer une diversité des courants et de nouveaux habitats. Grâce à de nombreuses revitalisations, les cours d’eau ramifiés avec leurs mares, leurs surfaces de graviers ouvertes et leurs bras morts offrent aujourd’hui un habitat aux castors, aux martins pêcheurs et à de nombreux amphibiens. Près de Kappelen, la proximité de l’autoroute et du circuit de karting perturbe quelque peu la tranquillité de la randonnée. Mais entre les deux, c’est un calme étonnant qui règne, malgré la proximité des habitations et des voies de circulation. Peu avant Aarberg, on quitte la forêt alluviale et on passe devant les terrains de sport et les lotissements pour arriver aux portes d’entrée de la petite ville médiévale.
On quitte Bienne le long de la Thielle par le canal de Nidau-Büren. Le chemin monte dans la forêt jusqu’au Jensberg, où un Chnebelburg, un Keltenwall et le temple Petinesca ont été découverts. Longeant l’ancienne Aar sur de jolis sentiers à travers des forêts alluviales, l’étape s’achève dans la cité moyenâgeuse d’Aarberg.
On quitte Bienne par un joli chemin riverain le long de la Thielle. En passant devant les embarcadères, le château de Nidau et les lotissements des zones résidentielles privilégiées, on arrive au barrage de Port, qui régule les masses d’eau à la sortie du lac de Bienne. Une écluse permet également le passage des bateaux. Après les dernières maisons, le chemin monte en pente raide jusqu’au Jensberg, chargé d‘histoire. Au point culminant, caché dans un épais sous-bois, est conservé l’enceinte celtique d’une Chnebelburg datant du 1er/2e siècle avant J.-C. Plus loin vers l’ouest, on tombe sur une muraille datant du temps des Celtes, et, dans la forêt de Studen, sur le quartier d’un temple de l’époque gallo-romaine, dont les fondations ont été soigneusement restaurées. En descendant vers Studen, on trouve les vestiges de la porte d’entrée de Petinesca. Cette petite ville romaine constituait aux 2e et 3e siècles après J.-C. le centre des domaines environnants.
Le long de la ligne de chemin de fer, d’entrepôts et de nombreuses entreprises artisanales, on traverse l’ancienne Aar à Grien, et on entre dans la plus grande zone alluviale continue de Suisse. Le sentier longe d’abord la lisière de la forêt, puis traverse la zone alluviale. L’Aar, qui s’écoule lentement, a façonné un paysage varié avec des cours d’eau, des bras de rivières, des zones alluviales à bois tendre, des prairies humides et des étangs pour amphibiens. Depuis la correction des eaux du Jura en 1878 et l’abaissement de leur niveau, il ne coulait plus qu’un peu d’eau dans l’ancienne Aar, ce qui a entraîné un appauvrissement de la biodiversité. La dernière revalorisation de la zone alluviale a permis d’augmenter le débit de l’eau via un nouveau système de régulation près d’Aarberg. Grâce au rehaussement des digues de protection contre les crues, la protection des habitations voisines a pu être améliorée. Aujourd’hui, beaucoup plus d’eau peut à nouveau s’écouler à travers l’ancienne Aar.
Une zone alluviale n’est un habitat riche en espèces que si l’eau peut façonner le paysage et former une grande variété de structures de biotopes. L’installation de bois mort dans le cours d’eau a également permis de créer une diversité des courants et de nouveaux habitats. Grâce à de nombreuses revitalisations, les cours d’eau ramifiés avec leurs mares, leurs surfaces de graviers ouvertes et leurs bras morts offrent aujourd’hui un habitat aux castors, aux martins pêcheurs et à de nombreux amphibiens. Près de Kappelen, la proximité de l’autoroute et du circuit de karting perturbe quelque peu la tranquillité de la randonnée. Mais entre les deux, c’est un calme étonnant qui règne, malgré la proximité des habitations et des voies de circulation. Peu avant Aarberg, on quitte la forêt alluviale et on passe devant les terrains de sport et les lotissements pour arriver aux portes d’entrée de la petite ville médiévale.
Le long de la ligne de chemin de fer, d’entrepôts et de nombreuses entreprises artisanales, on traverse l’ancienne Aar à Grien, et on entre dans la plus grande zone alluviale continue de Suisse. Le sentier longe d’abord la lisière de la forêt, puis traverse la zone alluviale. L’Aar, qui s’écoule lentement, a façonné un paysage varié avec des cours d’eau, des bras de rivières, des zones alluviales à bois tendre, des prairies humides et des étangs pour amphibiens. Depuis la correction des eaux du Jura en 1878 et l’abaissement de leur niveau, il ne coulait plus qu’un peu d’eau dans l’ancienne Aar, ce qui a entraîné un appauvrissement de la biodiversité. La dernière revalorisation de la zone alluviale a permis d’augmenter le débit de l’eau via un nouveau système de régulation près d’Aarberg. Grâce au rehaussement des digues de protection contre les crues, la protection des habitations voisines a pu être améliorée. Aujourd’hui, beaucoup plus d’eau peut à nouveau s’écouler à travers l’ancienne Aar.
Une zone alluviale n’est un habitat riche en espèces que si l’eau peut façonner le paysage et former une grande variété de structures de biotopes. L’installation de bois mort dans le cours d’eau a également permis de créer une diversité des courants et de nouveaux habitats. Grâce à de nombreuses revitalisations, les cours d’eau ramifiés avec leurs mares, leurs surfaces de graviers ouvertes et leurs bras morts offrent aujourd’hui un habitat aux castors, aux martins pêcheurs et à de nombreux amphibiens. Près de Kappelen, la proximité de l’autoroute et du circuit de karting perturbe quelque peu la tranquillité de la randonnée. Mais entre les deux, c’est un calme étonnant qui règne, malgré la proximité des habitations et des voies de circulation. Peu avant Aarberg, on quitte la forêt alluviale et on passe devant les terrains de sport et les lotissements pour arriver aux portes d’entrée de la petite ville médiévale.
Longueur
20 km
Montée | Descente
320 m | 300 m
Temps de marche
5 h 00 min
Techniquement | Physiquement
facile
(chemin de randonnée)
|
difficile
Aller | retour
Contact
Entretien de la signalisation
L'entretien de la signalisation est pris en charge par l'association cantonale de tourisme pédestre, sur mandat du canton.
Berner Wanderwege
Nordring 8
1303 Bern
info@bernerwanderwege.ch
www.bernerwanderwege.ch