La Suisse à pied

Chemin des cols alpins
Etape 36, Champex–Trient

Faire pivoter votre appareil pour le diaporama
Chemin des cols alpins
Etape 36, Champex–Trient
Cette étape d’une journée, pas trop longue, fait partie du «Tour du Mont Blanc». Après la vallée romantique et inhabitée du Durnand, une montée raide mène à l’alpage de Bovine. De là, on jouit d’une vue imprenable sur la vallée du Rhône et Martigny.
Champex-Lac est une belle station valaisanne située au-dessus de Martigny. Aujourd’hui, le paysage, les chalets traditionnels et le lac ne laissent plus présager que le village fut d’une grande importance stratégique pour la région frontalière pendant la Seconde Guerre mondiale et la Guerre froide. Un vaste fort d’artillerie souterrain faisait partie de la politique de défense de la Suisse et peut aujourd’hui être visité.
Les cinq à six premiers kilomètres se font en toute décontraction sur une route empierrée à travers la forêt. De robustes vaches noires d’Hérens paissent dans les pâturages. Plus loin, la route cède la place à un sentier qui ressemble plutôt au lit d’un ruisseau. Dans la petite vallée latérale, en dessous des sommets Génepi et Six Carro, le chemin devient plus raide. La partie la plus difficile de l’étape se termine à environ 1900 mètres d’altitude. La vue sur les versants de montagne fissurés par les cours d’eau et, plus tard, sur la vallée du Rhône, est impressionnante.
Sur le versant nord exposé des Alpes, le chemin se trouve au-dessus de la limite de la forêt, car le vent, l’érosion, la neige et les avalanches repoussent ici les arbres et les empêchent de grandir. Après avoir atteint le point culminant de la randonnée à la Porte à l’O, on descend vers le col de la Forclaz par un beau chemin, féerique par endroits. La route du col, qui existe depuis 1824, relie Martigny au Châtelard. Dans la dernière partie, la descente jusqu’à la destination finale de l’étape à Trient est abrupte par endroits. Une passerelle permet de longer la paroi rocheuse sur des grilles métalliques. Au fond de la vallée, on atteint la paisible commune de Trient et son église couleur framboise. Dans ce lieu de passage animé, on croise des gens venus du monde entier.
Cette étape fait partie du célèbre «Tour du Mont Blanc» qui traverse la France, l’Italie et la Suisse sur environ 160 kilomètres.
Les cinq à six premiers kilomètres se font en toute décontraction sur une route empierrée à travers la forêt. De robustes vaches noires d’Hérens paissent dans les pâturages. Plus loin, la route cède la place à un sentier qui ressemble plutôt au lit d’un ruisseau. Dans la petite vallée latérale, en dessous des sommets Génepi et Six Carro, le chemin devient plus raide. La partie la plus difficile de l’étape se termine à environ 1900 mètres d’altitude. La vue sur les versants de montagne fissurés par les cours d’eau et, plus tard, sur la vallée du Rhône, est impressionnante.
Sur le versant nord exposé des Alpes, le chemin se trouve au-dessus de la limite de la forêt, car le vent, l’érosion, la neige et les avalanches repoussent ici les arbres et les empêchent de grandir. Après avoir atteint le point culminant de la randonnée à la Porte à l’O, on descend vers le col de la Forclaz par un beau chemin, féerique par endroits. La route du col, qui existe depuis 1824, relie Martigny au Châtelard. Dans la dernière partie, la descente jusqu’à la destination finale de l’étape à Trient est abrupte par endroits. Une passerelle permet de longer la paroi rocheuse sur des grilles métalliques. Au fond de la vallée, on atteint la paisible commune de Trient et son église couleur framboise. Dans ce lieu de passage animé, on croise des gens venus du monde entier.
Cette étape fait partie du célèbre «Tour du Mont Blanc» qui traverse la France, l’Italie et la Suisse sur environ 160 kilomètres.
Cette étape d’une journée, pas trop longue, fait partie du «Tour du Mont Blanc». Après la vallée romantique et inhabitée du Durnand, une montée raide mène à l’alpage de Bovine. De là, on jouit d’une vue imprenable sur la vallée du Rhône et Martigny.
Champex-Lac est une belle station valaisanne située au-dessus de Martigny. Aujourd’hui, le paysage, les chalets traditionnels et le lac ne laissent plus présager que le village fut d’une grande importance stratégique pour la région frontalière pendant la Seconde Guerre mondiale et la Guerre froide. Un vaste fort d’artillerie souterrain faisait partie de la politique de défense de la Suisse et peut aujourd’hui être visité.
Les cinq à six premiers kilomètres se font en toute décontraction sur une route empierrée à travers la forêt. De robustes vaches noires d’Hérens paissent dans les pâturages. Plus loin, la route cède la place à un sentier qui ressemble plutôt au lit d’un ruisseau. Dans la petite vallée latérale, en dessous des sommets Génepi et Six Carro, le chemin devient plus raide. La partie la plus difficile de l’étape se termine à environ 1900 mètres d’altitude. La vue sur les versants de montagne fissurés par les cours d’eau et, plus tard, sur la vallée du Rhône, est impressionnante.
Sur le versant nord exposé des Alpes, le chemin se trouve au-dessus de la limite de la forêt, car le vent, l’érosion, la neige et les avalanches repoussent ici les arbres et les empêchent de grandir. Après avoir atteint le point culminant de la randonnée à la Porte à l’O, on descend vers le col de la Forclaz par un beau chemin, féerique par endroits. La route du col, qui existe depuis 1824, relie Martigny au Châtelard. Dans la dernière partie, la descente jusqu’à la destination finale de l’étape à Trient est abrupte par endroits. Une passerelle permet de longer la paroi rocheuse sur des grilles métalliques. Au fond de la vallée, on atteint la paisible commune de Trient et son église couleur framboise. Dans ce lieu de passage animé, on croise des gens venus du monde entier.
Cette étape fait partie du célèbre «Tour du Mont Blanc» qui traverse la France, l’Italie et la Suisse sur environ 160 kilomètres.
Les cinq à six premiers kilomètres se font en toute décontraction sur une route empierrée à travers la forêt. De robustes vaches noires d’Hérens paissent dans les pâturages. Plus loin, la route cède la place à un sentier qui ressemble plutôt au lit d’un ruisseau. Dans la petite vallée latérale, en dessous des sommets Génepi et Six Carro, le chemin devient plus raide. La partie la plus difficile de l’étape se termine à environ 1900 mètres d’altitude. La vue sur les versants de montagne fissurés par les cours d’eau et, plus tard, sur la vallée du Rhône, est impressionnante.
Sur le versant nord exposé des Alpes, le chemin se trouve au-dessus de la limite de la forêt, car le vent, l’érosion, la neige et les avalanches repoussent ici les arbres et les empêchent de grandir. Après avoir atteint le point culminant de la randonnée à la Porte à l’O, on descend vers le col de la Forclaz par un beau chemin, féerique par endroits. La route du col, qui existe depuis 1824, relie Martigny au Châtelard. Dans la dernière partie, la descente jusqu’à la destination finale de l’étape à Trient est abrupte par endroits. Une passerelle permet de longer la paroi rocheuse sur des grilles métalliques. Au fond de la vallée, on atteint la paisible commune de Trient et son église couleur framboise. Dans ce lieu de passage animé, on croise des gens venus du monde entier.
Cette étape fait partie du célèbre «Tour du Mont Blanc» qui traverse la France, l’Italie et la Suisse sur environ 160 kilomètres.
Longueur
16 km
Montée | Descente
880 m | 1050 m
Temps de marche
5 h 25 min
Techniquement | Physiquement
moyen
(chemin de montagne)
|
difficile
Aller | retour
Saison
Saison
Attention: les tronçons en altitude peuvent comporter de la neige jusqu’en été.
Renseignements
Aller | retour
Contact
Entretien de la signalisation
L'entretien de la signalisation est pris en charge par l'association cantonale de tourisme pédestre, sur mandat des communes.
Valrando
Rue Pré-Fleuri 6
1951 Sion
admin@valrando.ch
www.valrando.ch